Refus de LC pour Nathalie Ménigon
14 décembre 2003
Sorj CHALANDON - Libération.fr, mercredi 26 novembre 2003
Une question, d’abord. Une réponse ensuite. Un même thème. La question est posée par l’animateur Stéphane Thébaut, à trois concurrents du nouveau jeu, Tout vu, tout lu. La réponse nous est donnée par le journaliste Samuel Etienne .
« Nous allons parler justice », dit l’animateur. Face à lui, debout derrière leur pupitre, Stéphanie, Robert et Grégoire. Chaque candidat commence le jeu avec un capital virtuel de 15 000 euros, qui (…)
Nathalie Ménigon : Sa demande de libération pour raisons de santé a été rejetée
13 décembre 2003
Dominique SIMONNOT - Libération.fr, le mardi 25 novembre 2003
Action directe : Ménigon reste en prison Sa demande de libération pour raisons de santé a été rejetée.
Les experts ont jugé son état compatible avec la détention : la demande de libération de Nathalie Ménigon en raison de son état de santé a donc été rejetée hier. Pourtant, selon Jean-Louis Chalanset, son avocat, la teneur des expertises est « surprenante », comme il l’a relevé lors d’une conférence de presse des amis de (…)
Nouvel Obs : Rassemblement à Paris pour soutenir Ménigon
11 mars 2004
Rassemblement à Paris pour soutenir Ménigon
Les proches de l’ancienne militante d’Action directe appellent à un rassemblement ce lundi, à 18h, rue du Renard, devant l’Administration pénitentiaire, pour y être reçu en délégation. Le 26 mars, la commission de libération conditionnelle se penchera à nouveau sur sa suspension de peine pour raisons médicales, jusqu’ici refusée. En attendant, son entourage appelle à un rassemblement lundi à 18 heures, rue du Renard, à Paris, devant (…)
Libération : La santé de Ménigon devant le juge
30 septembre 2003
En juillet, Nathalie Ménigon, ancienne d’Action directe, grimpait sur un grillage de la cour de promenade de la prison de Bapaume. Elle voulait, a raconté son avocat Me Chalanset, « protester contre le manque de soins qui lui sont dispensés en prison ». L’escalade s’était soldée par une chute et 41 points de suture. A 44 ans, Ménigon, partiellement hémiplégique après deux accidents vasculaires cérébraux en prison, est bourrée de médicaments et souffre de troubles de l’équilibre, de la (…)
LIbération : Détenue malade, elle a suspendu sa grève de la faim
1er mars 2004
athalie Ménigon a suspendu sa grève de la faim jeudi après une rencontre avec Robert Bret, sénateur communiste des Bouches-du-Rhône, venu la voir à la prison de Bapaume (Pas-de-Calais). L’élu était ressorti « marqué » par cette visite à l’ancienne militante d’Action directe (AD), incarcérée depuis dix-sept ans (Libération du 27 février). Il s’était dit « très inquiet de l’état d’affaiblissement mental et physique » de la prisonnière, parlant même de sa crainte « d’une issue fatale ». Et il (…)
Libération : Nathalie Ménigon demande sa libération
27 mars 2004
La demande de suspension de peine pour raisons de santé de l’ancienne membre du groupe terroriste Action directe, Nathalie Ménigon, dépressive et malade doit être examinée aujourd’hui. Elle n’a que peu de chances d’aboutir. La juridiction nationale de libération conditionnelle doit examiner vendredi 26 mars à Paris la demande de suspension de peine pour raisons de santé de Nathalie Ménigon, 47 ans, ancienne membre du groupe terroriste Action directe (AD), dépressive et malade. Cette (…)
Nouvel examen de demande de suspension de peine de Nathalie Ménigon
27 mars 2004
LILLE (AFP) - 26/03/2004 07h10
La juridiction nationale de libération conditionnelle examinera vendredi à Paris la demande de suspension de peine pour raisons de santé de Nathalie Ménigon, 47 ans, ancienne membre du groupe terroriste Action directe (AD), dépressive et malade.
Cette demande, rejetée à deux reprises, en octobre 2002 et en novembre 2003, n’a toutefois que très peu de chances d’aboutir, selon l’un de ses avocats, Me Jean-Louis Chalanset, qui la défendra vendredi au cours de (…)
Quatre militants d’Action directe, incarcérés depuis dix-sept ans, souffrent de pathologies lourdes
28 mars 2004
Ces dix-sept ans de prison les ont minés, chacun différemment. | AFP
Ces dix-sept ans de prison les ont minés, chacun différemment. Et, pourtant, les quatre condamnés d’Action directe, Jean-Marc Rouillan, 51 ans, Joëlle Aubron, 44 ans, Nathalie Ménigon, 47 ans et Georges Cipriani, 53 ans, ont été soumis au même régime.
Dix-huit mois d’isolement total, d’abord, après leur arrestation le 21 février 1987. Puis des années d’isolement partiel et le régime ultra-strict des détenus (…)
Ménigon, Aubron et Rouillan demandent la liberté
28 mars 2004
Les trois anciens membres d’Action directe ont déposé des demandes de suspensions de peine. Les trois sont gravement malades. Des experts doivent être nommés pour Joëlle Aubron et Jean-Marc Rouillan. Nathalie Ménigon sera fixée sur sa demande le 9 avril. L’avocat de quatre anciens membres d’Action directe a annoncé vendredi 26 mars qu’il venait de déposer deux demandes de suspension de peine pour Joëlle Aubron et Jean-Marc Rouillan, atteints respectivement d’une tumeur au cerveau et (…)
Le Monde : Joëlle Aubron n’est plus menottée sur son lit d’hôpital
31 mars 2004
Le préfet du Nord, Jean-Pierre Richer, a ordonné, mardi 30 mars, que Joëlle Aubron ne soit pas menottée sur son lit d’hôpital. L’ancienne militante d’Action directe, hospitalisée depuis le 6 mars au CHU de Lille, avait été trouvée lors d’une visite de sa sœur, lundi, entravée au barreaux de son lit ."Le préfet, assure son directeur de cabinet, a immédiatement demandé que soit appliqué l’article 803 du code de procédure pénale, qui permet qu’un détenu malade ne soit pas menotté si son état (…)
Le sort des détenus d’"Action Directe" : bien peu bénéficient de la "loi Papon"
4 avril 2004
Nathalie Ménigon ne saura que le 9 avril si sa demande de mise en liberté pour raisons de santé a été acceptée par la justice. Incarcérée depuis dix-sept ans avec trois autres dirigeants d’Action Directe pour les meurtres du général Audran et de Georges Besse, PDG de Renault, elle est partiellement hémiplégique suite à deux accidents vasculaires cérébraux, et a fait plusieurs tentatives de suicide. Les trois autres sont eux aussi dans un état de santé déplorable : Georges Cipriani souffre de (…)
La France exerce toujours la peine de mort
12 avril 2004
L’ex-militante d’Action directe Nathalie Ménigon devait savoir le 26 mars si elle pouvait bénéficier d’une suspension de peine pour raisons de santé. La réponse fut négative.
Cette mesure accordée en 2002 à Maurice Papon, incarcéré pour complicité de crimes contre l’humanité, ne sera pas appliquée à une prisonnière politique qui a payé pour ses actes mais qui a le malheur d’incarner des idées honnies par l’État.
Cela fait 17 ans que Nathalie Ménigon, ancienne militante d’Action directe, (…)
La justice rejette une nouvelle fois la demande de suspension de peine de Nathalie Ménigon
12 avril 2004
L’un des premiers à avoir bénéficié d’une suspension de peine pour raison de santé avait été en septembre 2002 Maurice Papon, ancien secrétaire général de la préfecture de Gironde, condamné à dix ans de réclusion pour complicité de crimes contre l’humanité.
La justice a rejeté vendredi 8 avril la demande de suspension de peine, et de mise en liberté, présentée pour raisons médicales de l’ancienne militante du groupe clandestin Action directe Nathalie Ménigon, emprisonnée depuis 1987 pour (…)
Courrier de Joëlle Aubron, prisonnière d’Action Directe
15 avril 2004
Communiqué du Front de Libération des Organes Mal en point à tous les amies, amis et camarades qui se sont inquiétés pour moi.
Le 2 avril, j’ai réintégré le Centre de détention de Bapaume. Dans une quinzaine de jours, commencera une suite de soins quotidiens sur une bonne quarantaine de jours. Pour l’heure, n’est pas encore établi la manière dont ils se dérouleront. Ils ne nécessitent pas d’hospitalisation en eux-mêmes. Néanmoins, même si ma qualité de prisonnière au long cours, étiquetée (…)
Communiqué de la CNT-Jura : pour la libération immédiate des prisonniers politiques d’Action Directe
18 avril 2004
Communiqué de la CNT-Jura
« A Toulouse, une cour d’assises bien française envoya Langer à la guillotine pour le crime de détention de vingt-cinq kilos de dynamite ! Langer, un ancien des Brigades internationales, évadé du camp de concentration du Vernet, avait pris le train pour récupérer cet explosif à Saint-Gaudens où travaillaient des carriers espagnols. Il fut arrêté à la petite gare Saint-Agne une fin d’après-midi. Lespinasse, procureur général, requit la mort de cette vermine (…)
30 avril 2004
Communiqué n°2 du Front de Libération des Organes Mal en Point :
Décidément il y a du travail ! Du côté du cerveau, il y a de l’agitation maladive ; quand un symptôme est éradiqué, c’est une autre manifestation à l’origine incertaine qui se pointe. Des recherches sont en cours. Le cas est loin d’être désespéré, il est seulement un peu compliqué. En attendant quelques administrations pavoisent, exerçant leurs pouvoirs sur les corps détenus ; toute honte bue d’en abuser autant. Ce 8 (…)
Déclaration du Président de la LDH au sujet d’Action Directe
3 mai 2004
LA LOI, LA JUSTICE ET LA VENGEANCE
Ils sont cinq à être détenus pour avoir commis des assassinats et d’autres crimes. Le fait qu’ils les aient commis pour un motif politique ne rend pas plus acceptable leurs actes. Les détenus d’Action Directe ont semé une violence que rien ne peut justifier. Ils ont été jugés et condamnés pour cela : à perpétuité.
L’un d’entre eux, Régis Schleicher, est détenu depuis 21 ans. Il est libérable mais ses demandes de libération conditionnelle se heurtent à (…)
La justice veut une autre expertise de l’état de santé de Joëlle Aubron
7 mai 2004
La justice veut une autre expertise de l’état de santé de Joëlle Aubron LE MONDE http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-363502,0.html
Les juges se sont déplacés jusqu’à la prison de Bapaume (Pas-de-Calais), lundi 3 mai, afin de voir Joëlle Aubron entre les deux séries de séances de radiothérapie qu’elle suit à l’hôpital de Lille. La militante d’Action directe, âgée de 45 ans, condamnée à perpétuité pour les meurtres du général René Audran et du PDG de Renault Georges Besse, et (…)
Action directe : l’inlassable vengeance d’Etat
26 mai 2004
Joëlle Aubron, Georges Cipriani, Nathalie Ménigon et Jean-Marc Rouillan, considérés comme les "chefs historiques" du groupe Action directe, sont détenus depuis 17 ans, en particulier pour les meurtres du général René Audran, Directeur des relations internationales du ministère de la défense (janvier 1985), et du PDG de Renault Georges Besse (novembre 1986). Leur camarade Régis Schleicher, jugé pour "association de malfaiteurs", après plusieurs rejets de demandes de libération, entre dans sa (…)
Occupation de l’Odre des médecins pour responsabiliser les médecins face à la suspension de peine
30 mai 2004
A l’initiative de Défense active et du Collectif Ne laissons pas faire !, 70 personnes ont pénétré par surprise le 26 mai dans le siège du Conseil national de l’Ordre des médecins. Les manifestants ont répandu un liquide rouge et ils ont occupé le hall. Une grande banderole réclamant la libération de Joëlle Aubron et de Nathalie Ménigon a été déployée aux fenêtres du deuxième étage ; une autre, au rez-de-chaussée, demandait la libération des militants d’Action directe. Des milliers de (…)
Libération de Joëlle Aubron... Et les autres ?
16 juin 2004
Le collectif « Ne laissons pas faire ! » accueille avec soulagement l’annonce de la libération de Joëlle Aubron, militante d’Action directe, incarcérée depuis 1987.
Nous savons que cette libération est le fruit de la mobilisation de toutes celles et tous ceux qui ont multiplié les actions de soutien, souvent depuis des années.
Le mouvement d’opinion ainsi créé a permis d’arracher Joëlle à la vindicte de l’État, malgré l’acharnement dont celui-ci a fait preuve, jusqu’aux derniers jours. (…)
Déclaration de Joëlle Aubron à sa sortie de prison
18 juin 2004
Voici le texte lu par Joëlle Aubron quelques instants après sa sortie de la prison de Bapaume
"Je suis fatiguée, aussi je dirais seulement trois choses :
La première est d’être bien sûr contente d’avoir la possibilité de me soigner.
La seconde est que l’application de la loi de mars 2002 reste cependant pour de nombreuses de prisonnières et prisonniers très en deça de son contenu même.
La troisième est ma conscience de ce que la libération de mes camarades est une bataille toujours (…)
soutien à la demande de suspension de peine pour raison médicale de Nathalie Ménigon
14 octobre 2004
Conférence de presse organisée par Nlpf ! le mercredi 6 octobre 2004 en soutien à la demande de suspension de peine pour raison médicale de Nathalie Ménigon. http://nlpf.samizdat.net/article.php3?id_article=13
Nathalie Ménigon, incarcérée depuis 1987, a subi comme ses quatre camarades d’Action directe des conditions de détention « spéciales » qui visaient à la détruire physiquement et psychologiquement : longues années d’isolement, statut de détenue particulièrement surveillée, absence de (…)
Soutien à la demande de suspension de peine pour raison médicale de Nathalie Ménigon
26 octobre 2004
Compte-rendu de la conférence de presse du 6 octobre 2004
Cet article provient de Action Directe http://www.action-directe.net/ Date : 13.10.04 à 10:49 | Ver : 2004-10-18 03:01:14 Sujet : Nathalie Menigon
Une conférence de presse organisée par Nlpf ! en soutien à la demande de suspension de peine pour raison médicale de Nathalie Ménigon. Nathalie Ménigon, incarcérée depuis 1987, a subi comme ses quatre camarades d’Action directe des conditions de détention « spéciales » qui visaient (…)
(2004) Bret Robert sénateur : Nathalie Ménigon ou la justice à 2 vitesses !
10 avril 2005
(2004) Bret Robert sénateur : Joelle Aubron : Enfin une décision de justice
10 avril 2005
(2006) Le parquet s’oppose à la libération d’un malade du cancer
20 décembre 2006
Centre de détention de Bapaume (62) : Le parquet s’oppose à la libération d’un malade du cancer.
La section française de l’OIP dénonce les faits suivants :
Le parquet d’Arras s’oppose à la libération d’un détenu atteint d’un cancer des poumons. Cette personne, dont le pronostic vital est engagé à moyen terme, a de plus été hospitalisé d’office durant le mois de septembre en raison d’un état dépressif majeur avec un risque suicidaire. Le juge de l’application des peines doit rendre sa (…)
(2007) NLPF : 10 Mai pour exiger la mise en liberté de Nathalie !
10 mai 2007
De la misère en milieu judiciaire
Est-ce un mauvais gag, de l’incompétence, de l’acharnement, ou les trois à la fois ?
Le Tribunal d’application des peines de Paris (juridiction spéciale) devait aujourd’hui, 25 avril, rendre son jugement sur la demande de libération conditionnelle de Nathalie Ménigon, examinée le 2 avril dernier.
Mais ce tribunal a choisi de différer le prononcé de sa décision au 10 mai, soit juste après le deuxième tour de l’élection présidentielle, le jugement (…)
(2005) Atelier Gestion du stress "Bien dans sa tête, bien dans son corps"
22 mai 2008
. . . . . GESTION DU STRESS
CENTRE DE DÉTENTION DE BAPAUME Bien dans sa tête, bien dans son corps
Public béné ?ciaire de l’action Large public : hommes (15) et femmes (18) de tous âges.
Contact de la personne référente de l’action Jean-Claude VANDERHAEGHE Fonction : Chef de service Service : Service d’insertion et de probation de BAPAUME Tél. : 03 21 60 10 08
Partenaires Partenaires techniques : moniteur de sport, kinésithérapeute. Partenaires ?nanciers : DRSP de Lille, DDJS, MILDT. (…)